Forum : Social, debats, divers, sujet n°52

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Sujet : ------- Qui suis-je ? -------
#128 Ahamay 20/03/09 16:54:12
======== QSJ N°27 ========

Après la naissance de mon frère cadet Robert, ses parents changèrent mon identité en Marion Mitchell Morrison. Né dans une famille modeste et presbytérienne, mon père est Clyde Leonard Morrison, d'ascendance irlandaise et écossaise et fils d'un vétéran de la Guerre de Sécession, ma mère, Mary Alberta Brown, d'origine irlandaise.

La famille s'installe en Californie à Glendale en 1911. Dès cette époque, on me surnomme « Big Duke » en référence à mon chien, « Little Duke », que j'emmenais partout avec moi.

Ma jeunesse est marquée par une certaine pauvreté. A l'école, je fais partie des bons élèves,et devient une star de football de mon lycée et suis recruté, au titre des bourses sportives, par l'Université de Californie du Sud où je rejoint une fraternité, Sigma Chi. Je joue également dans l'équipe de football mais une blessure cause la fin prématurée de ma carrière sportive et me fait perdre ma bourse scolaire. Je suis alors obligé de mettre fin à mes études pour raisons financières.

Pendant mes années universitaires, j'ai commencé à travailler pour des studios de cinéma locaux. Durant un job d'été, je fais la connaissance d'un réalisateur célèbre avec qui je lierai une grande amitié durant ma vie entière. C'est ainsi que j'apparaîs pour la première fois au cinéma avec mon équipe de football dans le film Maker of Men (1930).

J'occupe une position particulière dans le panthéon des stars pour n'avoir interprété qu'un seul rôle dans les 175 films aux génériques desquels j'apparaît.

Connu pour mes opinions patriotiques, anti-communistes et conservatrices. Star du parti républicain, Je m'impliquais dans la création de la « Motion Picture Alliance for the Preservation of American Ideals », une association américaine de cinéma conservatrice.

Je n'ai pas été incorporé pendant la Seconde Guerre mondiale pour des raisons familiales, mais j'ai toujours soutenu l'effort de guerre américain : j'ai incarné toutes les catégories de soldats américains et je cosigne, en 1968, le seul film américain ouvertement pro-guerre du Vietnam.

En 1964, je soutiens encore la candidature de Barry Goldwater à la présidence des Etats-Unis et en 1968, je suis approché pour être moi-même le candidat du parti républicain, mais je décline la proposition au prétexte que je ne pensait pas que le public pourrait envoyer un acteur à la Maison-Blanche.

So.... Who am I ?
# 129 Valou 20/03/09 17:30:33
Ben chuis un peu perturbée à cause de ce paragraphe :
"J'occupe une position particulière dans le panthéon des stars pour n'avoir interprété qu'un seul rôle dans les 175 films aux génériques desquels j'apparaît".
Le Duke c'était le surnom de John Wayne acteur fétiche de John Ford ...
# 130 Paulina 20/03/09 17:55:06
Non Steph,pour Cocteau c'était facile : J'adorais Jean Marais...smiley n°14
Pour le "duke" je n'ai pas trouvé de suite...
Bon à la prochaine...
# 131 Ahamay 23/03/09 23:31:55
Pareil, ce paragraphe m'a un peu surpris aussi... en fait ce qu'il veulent dire c'est qu'il a toujours joué les memes roles. le Gentil, un peu bourru, rassurant, sur de lui... macho, mais sensible.

c'est vrai, on n'a jamais vu john Wayne dans un role de salop !

En tout cas, une fois de plus, bravo Val.
# 132 Ahamay 23/03/09 23:56:05
je corse un peu....
indice : Elysabeth Badinter à écrit un bouquin sur elle ;)

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Fille de Louis Nicolas Le Tonnelier, baron de Breteuil, introducteur des Ambassadeurs de Louis XIV, j'eus la chance de vivre dans un milieu ouvert ; mes parents recevaient en effet le poète Jean-Baptiste Rousseau et Fontenelle dans leur salon parisien et je connus ceux-ci dès l'enfance. Je dois à son père une éducation qui d'ordinaire n'était que rarement dispensée aux filles. Lui-même m'enseigna le latin et, douée pour les études, j'apprit également le grec et l'allemand. J'appris à jouer du clavecin ; aimant la danse et le théâtre que je pratiquais en amateur, aimant aussi à chanter l'opéra.

Présentée à seize ans à la Cour du régent par son père, je fus séduite par les plaisirs que cette vie offrait, cédant à certaines extravagances, collectionnant les robes, les chaussures, adorant les bijoux.

Je me marie le 12 juin 1725 à un marquis prénommé Florent Claude. Celui-ci avait trente ans et moi dix-neuf. Avec mon époux, gouverneur de Semur-en-Auxois, je vécut quelque temps dans cette ville et c'est là que je rencontrais le mathématicien Mézières. J'ai eu la chance d'avoir un mari qui me laissait vivre librement; se rendant compte de ses propres limites autant que des capacités intellectuelles de sa femme.

Le mariage se traita comme une affaire, l'amour ne rentrant que rarement en compte. J‘eus, de son mari, trois enfants, mais mon époux, pris par sa carrière militaire, ne voyait me voyait que très rarement. J'avais d'ailleurs été auparavant la maîtresse du marquis de Guébriant et du maréchal de Richelieu ; l'assiduité et le goût de l'étude que je montrais avec précocité ne l'empêchait pas de mener la vie volage d'une dame noble sous la Régence.

De mes divers amants, Voltaire eut sur moi le plus d'influence, m'encourageant à approfondir mes connaissances en physique et en mathématiques, matières pour lesquelles il me reconnaissait des aptitudes particulières, me considérant supérieure à lui-même en ce domaine par ses connaissances. Le substantif « scientifique » n'existait pas alors, mais c'est ce que j'étais : une des premières femmes à l'avoir été, et dont on ait conservé une documentation certaine pour pouvoir l'affirmer. J'étudie Leibniz, me concerte avec Clairaut, Maupertuis, König, Bernoulli, Euler, Réaumur, autant de personnages auxquels on doit l'avènement des « sciences exactes », concept qui n'existait pas encore à cette époque. Quand j'entreprendrai la traduction des Principia Mathematica de Newton, j'ira jusqu'à consulter Buffon.

Je fais la connaissance de Voltaire en 1734 alors qu'il est en disgrâce et l'accueille chez moi, dans mon château à Cirey-sur-Blaise : il a trente-neuf ans et moi vingt-sept, notre liaison va durer quinze ans. C'est lui qui me pousse à traduire Newton et qui me fait prendre conscience d'avoir la liberté de penser par moi-même.

Voltaire se montra du reste toujours admiratif envers moi, louant mon intelligence et mes qualités, dont celle, non des moindres, de ne jamais médire des autres dans un monde brillant certes, mais aussi méchant que spirituel.

À mon arrivée à Lunéville, à la cour de Stanislas Leszczyński, en 1746, je m'éprend du poète Saint-Lambert et délaisse Voltaire avec lequel je resterai toutefois liée d'amitié jusqu'à ma mort, qui survient trois ans plus tard à la suite d'un accouchement, à l'âge tardif de quarante-trois ans, mettant au monde une petite fille qui ne survivra pas.

Saint-Lambert et Voltaire m'assistèrent jusqu'au bout. Ce fut Voltaire qui se chargea de faire publier la fameuse traduction que j'avais faite du traité de Newton.

alors...C'est qui ?
# 133 Ahamay 25/03/09 00:00:08 Edité le 25/03/09 à 00:35:51
smiley n°05 Bin alors les filles, quoi ?!! kesskisspass ??? smiley n°12

j'vous trouve quand même une référence de la gente fémine... le top du top, avec un calibre pareil, nous les mecs ont peut toujours aller se rhabiller, j'en connais pas 1 seul qui lui arrive aux genoux !

on est au 18eme, des jolies nana, qui parlent 3 ou 4 langues (sans parler du latin et du grec), qui se permettent de remettre voltaire a sa place pendant plus de 15 ans (et a sa place c'est pas que dans son lit, si vous voyez ce que je veux dire), qui ont traduit LE livre de Newton (celui la meme ou il explique comment on cueille les pommes), des femmes qui fréquentent, qui sont reconnues et respectées par l'élite intellectuelle de l'époque... bref, des scientifiques, féministes, libérées, intelligentes, douées pour les arts.... yen a pas de centaines quand même ?!! quand en plus ont sait qu'elle aura laissé son nom en plein coeur du 1er

Et dire que si j'vous avais collé un "qui suis-je" sur une greluche qui a perdu la tête quelques années plus tard, vous m'auriez démasqué la Marie-Ant' illico presto.
Nan, franchement, Si vous trouvez pas vous êtes impardonnables smiley n°42

smiley n°39même son prénom est mignon tout plein smiley n°39 smiley n°27 smiley n°39
# 134 Kaaate 25/03/09 09:47:31
bin aucune idee, une marquise de qq chose ou duchesse de je sais pas quoi...??? je suis tentée d'aller googleliser la vie de Voltaire juste pour voir qui ça pourrait etre, mais je ne connais pas une seule nana de ce genre a cette epoque quasiment alors...impossible a deviner sans faire des recherches,
désolée pour cette inculture flagrante, j'ai honte !
valou sauve nous !!
smiley n°07
# 135 Ahamay 25/03/09 10:20:37 Edité le 25/03/09 à 10:22:15
Ok, kaaate, pour tes connaissances historique en matière scientifique, on te pardonne. Mais la féministe qui est en toi et ta perspicacité devrait t'aider. Surtout si tu prends en compte
l'indice :

J'ai laissé mon nom en plein coeur du 1er

smiley n°08
# 136 Kaaate 25/03/09 11:35:20
si je considère (après une longue reflexion) que tu veux dire le 1er arrondissement , je pense à la cathedrale notre dame (et ça doit pas etre ça)...les halles (non plus...???!!!), bref ça c'est de l'indice qui me sert pas vraiment...j'avoue mon ignorance et ma perspicacité ne remplacera pas le savoir ! en plus c'est vraiment pas une epoque historique que je connais bien...
# 137 Valou 25/03/09 17:59:45
En tant qu'ancienne "parisienne" pour moi le 1er arrdt c'est les Halles ou Chatelet mais çà ne m'avance pas plus smiley n°12 sur le nom de cette femme d'esprit, elle aurait été actrice encore smiley n°14
# 138 Ahamay 25/03/09 18:21:49
lol... quelle perspicacité les filles smiley n°14

Alors vous n'avez jamais entendu parler d'Emilie du Chatelet ?

Bon bin au moins j'espère vous avoir donné envie de creuser... sa vie est vraiment extraordinaire !

smiley n°19
# 139 Ahamay 26/03/09 00:21:54 Edité le 26/03/09 à 00:27:48
Qui suis-jour coup de coeur

Hoboken - New Jersey 12 Décembre 1915. En cette froide journée de
Décembre, une femme accouche dans des conditions difficiles au 415 de la Monroe Street.
La tête et le coup déchirés par les forceps, le tympan perforé et l'oreille lacérée, l'enfant est laissé pour mort tandis que le médecin concentre ses soins sur la mère.

Mais la grand-mère saisit le bébé par les pieds, court sur le palier et le place sous le jet glacé du robinet d'eau courante. Un cri immense s'élevé... l'enfant est sauf....Francis Albert vient de pousser sa première note entre deux étages d'une maison lépreuse de la banlieue de New York....

smiley n°12

Telle est l'authentique histoire qui veut que par sa présence d'esprit la Signora Rose Garavente ait ce jour là donné au monde la possibilité de jouir du talent du plus grand, que le siècle ait connu.

Quand il débute en amateur en 1935, le jeune fils d'immigrés italiens n'a qu'une ambition: égaler l'idole du moment, celui qui fait vibrer l'Amérique de sa voix d'or.

Nous sommes alors au printemps 1939 et voici que notre qui suis-je -marié depuis quelques mois à peine - lancé sur les routes américaines, partage la vie chaotique des musiciens de Big Band et
apprend les ficelles de son métier, soir après soir... pour un modique salaire de 75 dollars par semaine.

Un mois avant l'attaque japonaise contre Pearl Harbor, les magazines Downbeat et Metronome pouvaient enfin titrer: "Meilleur Chanteur de l'année 1954". Celui que la presse ne désignait
plus alors que par smiley n°50 ou smiley n°50, avait désormais remplacé l'idole de l'époque dans le coeur de l'Amérique adolescente.

.... commence alors une très longue, chaotique et étonnante carrière...

... pour ?

(la suite si vous trouvez pas -lol-)


smiley n°39
# 140 Kaaate 26/03/09 10:39:44
Franck Sinatra, toc, emballé c pesé !! (le coup de pot je savais son vrai prenom!!!pi des crooners americains celebres...)smiley n°26
# 141 Ahamay 26/03/09 11:44:51
[...] Celui que la presse ne désignait plus alors que par "The Voice" ou "Franky", avait désormais remplacé l'idole de l'époque (Bing Crosby ) dans le coeur de l'Amérique adolescente.

smiley n°11 Bravo Kaaate smiley n°43
# 142 Ahamay 26/03/09 14:20:43 Edité le 26/03/09 à 14:24:29
au suivant...

Mon père, Nick est un célèbre présentateur télé. Sa mère, Nina Waren, était une ex-reine de beauté et ma tante, Rosemary , une chanteuse et comédienne célèbre des années 1950. Cette dernière a d'ailleurs fait deux apparitions à mes cotés.
Je suis d'ascendance allemande et irlandaise.

Arrivé contre l'avis paternel à Los Angeles en 1982 pour me lancer dans une carrière d'acteur, je cours le cachet et jouerai dans quinze pilotes de séries jamais diffusés, ou dans des nanars
tels que Le Retour des tomates tueuses.

Je jouerai dans la première saison de Roseanne + une apparition dans la saison 4 épisode 6. On me verra souvent à la télé dans des seconds rôles, notamment dans Facts of Life, Baby Talk, Sisters, Bodies of evidence, Murder she wrote, (Arabesque), Tonnerre Mécanique...

Acceptant plusieurs films d'action aux cachets rémunérateurs à mes débuts dans le cinéma à la fin des années 1990, je le permet désormais de jouer pour des cachets bien moindres dans des films d'auteur, certains de ces films m'ont d'ailleurs permis de recevoir le Golden Globe du meilleur acteur.

Dans une entrevue avec le journal français Le Monde publiée le 30 août 2000, j'ai expliqué pourquoi j'avait accepté de jouer pour presque rien par une question : « Combien de fois faut-il toucher 20 millions de dollars pour être heureux ? »

En 2000, je fonde la société Section Eight avec un ami et complice réalisateur. Notre ambition, créer au sein d'un studio, en l'occurrence Warner Bros., une entité capable de produire des films ambitieux, pas forcément grand public, et de protéger ses auteurs du processus normal d'un studio Nous mettrons un terme aux activités de Section eight en mars 2007.

En 2002, je réalisé mon premier film, adapté de l'improbable autobiographie d'un producteur de télévision qui remporta un joli succès critique à défaut de trouver un public.

En mars 2005, la réalisation avec un film co-écrit avec l'un de mes meilleurs amis, sera en compétition à la Mostra de Venise et fera l'ouverture du festival de New York en septembre 2005.

En juin 2005, le festival du film indépendant de Los Angeles m'attribue le premier prix d'esprit indépendant afin d'honorer ma carrière et mes choix en prévalant un cinéma d'auteur ambitieux plutôt que des blockbusters parfois peu savoureux.

.... je suis ?
# 143 Valou 26/03/09 14:29:02
Le retour des tomates tueuses c'était une vraie daube avec Georges Clooney qui avait une coiffure top, digne des années 80 smiley n°10 C'est lui, la suite du descriptif m'y fait penser aussi, l'âge correspond ...

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