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Forum : Social, debats, divers, sujet n°52
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| #32 Kaaate 27/02/09 11:18:00 | ||||
| bah je tente Aristote ? ou alors...Socrate ??? pas facile ils sont nombreux ! |
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| # 33 Ahamay 27/02/09 11:21:57 | ||||
| Bien joué Kaaate..... c'était Socrate bien sur next one à suivre...... |
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| # 34 Ahamay 27/02/09 11:56:10 | ||||
| ######################### QUI SUIS JE N°7 ############################# Né dans le 14eme arrondissement de Paris, quartier populaire à l'époque, j'ai été élevé par mon parrain. J'y poursuis sans grand intérêt des études qui le mènent jusqu'à un certificat d'études et un CAP de soudeur à l'autogène. Passionné très jeune de littérature et de cinéma, je me suis forgé une solide culture en lisant notamment Rimbaud, Proust et Céline, et découvre les dialogues de Jeanson et de Prévert. Passionné également de bicyclette, je traîne pas mal du côté du Vélodrome d'hiver où je rencontre André Pousse que j'introduirai plus tard dans le métier d'acteur. Songeant un temps à faire carrière dans le vélo, j'y renonce toutefois car « je ne montait pas les côtes ». La Seconde Guerre mondiale, à laquelle je ne participe pas, est pour moi une période de privations et la libération, le spectacle de tristes règlements de comptes. Au lendemain de la guerre, je vivote comme livreur de journaux ce qui me permet d'approcher le milieu du journalisme. je entre ainsi à L'Étoile du soir où je commence une série d'articles sur l'Asie rédigés sur les comptoirs des bistrots parisiens. La découverte de l'imposture me valant d'être rapidement remercié, commence pour moi une carrière de critique pour Cinévie. En 1949, le réalisateur André Hunebelle me fait entrer dans le monde du cinéma en me commandant le scénario d'un film policier Mission à Tanger, bientôt suivi de deux autres films, trois romans policiers, et des premiers succès d'adaptation de romans au cinéma.* Ma notoriété s'étend et, en 1955, c'est la rencontre avec Jean Gabin à qui je propose le scénario de Gas-oil. Ainsi commence une collaboration de sept ans et seize films, j'ai par la suite travaillé avec les plus grands (belmondo, verneuil, ventura ) A partir de 1966 j'entame une carriere de réalisateur, et je tourne des films dont les titres sont parmi les plus longs du cinéma Français. Mais après huit films et un documentaire, dont les succès restent médiocres, je reviens à ma véritable vocation. En 1978, j'ai publié un roman en partie autobiographique La nuit, le jour, et toutes les autres nuits, qui fut récompensé par le prix des Quatre jurys. Et en 82 j'obtins la reconnaissance de mes pairs en remportant un césar .. Je suis........ |
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| # 35 Chimère 27/02/09 13:40:24 | ||||
| Au pif, vu le titre du roman à la fin... Richard Bohringer? |
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| # 36 Chimère 27/02/09 13:44:35 | ||||
| Mais non il est trop jeune lui d'après les dates.... Bon là je sèche... |
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| # 37 Kaaate 27/02/09 13:58:24 | ||||
hmmm pas fastoche, je dirai Audiard peut etre ??? mais sans conviction, c'est qq'un de cette
bande là , mais lequel...???  |
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| # 38 Ahamay 27/02/09 14:01:46 | ||||
Yessssssssssssss  Très En forme Kaaate  aujourd'hui  Bon, pas l'choix..... j'complique |
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| # 39 Kaaate 27/02/09 14:04:40 | ||||
| bin je savais pas qu'il avait fait tout ça monsieur Audiard, c'est de la chance ! je vais
pouvoir etaler ma nouvelle culture dans les diners grace a ce jeu !!! un autre un autre !!!  |
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| # 40 Indian-spirit 27/02/09 19:18:13 | ||||
Bouhhhhhh!!!! pour celle là je connaissais la réponse mais bien évidement j'arrive trop
tard .M'enfin , cela ne m'empêche pas d'apprécier le personnage et ses dialogues croustillants dont certains resteront à jamais gravé dans la mémoire du cinéma . |
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| # 41 Ahamay 27/02/09 19:37:20 | ||||
Quel verVe ce Domi |
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| # 42 Ahamay 27/02/09 19:59:16 Edité le 27/02/09 à 20:07:01 | ||||
| ~~~~~~~~~~~~~~~~~ Qui suis je N°8 ~~~~~~~~~~~~~~~ Née en Pologne, à Varsovie, où mon père est enseignant, je perd en l'espace de deux ans ma s½ur Sofia, décédée du typhus et ma mère, décédée de la tuberculose. Je me réfugie alors dans les études et excelle dans toutes les matières, où la note maximale m'est accordée. J' obtient ainsi mon diplôme de fin d'études secondaires avec la médaille d'or. À cette époque, Varsovie est sous la domination de la Russie, et dans le cadre des répressions suivant l'insurrection polonaise l'accès à l'université est controlée. Je rejoint donc l'Université Volante illégale à Varsovie puis part pour Paris, où je pus y suivre des études en sciences physiques et en mathématiques à la faculté des sciences. Deux ans plus tard, j'obtient ma licence ès-sciences physiques, en étant major de ma promotion, et un an plus tard ma licence ès-sciences mathématiques, en étant deuxième. Je rejoint ensuite le Laboratoire des recherches physiques de Gabriel Lippmann. C'est Au printemps 1894 que je fait une rencontre qui bouleversera ma vie. En 1896, je sors une fois de plus major de promo à l'agrégation de physique J'ai ensuite commencé mes travaux de thèse sur l'étude des rayonnements produits par l'uranium, découverts par Henri Becquerel et à ce moment-là encore appelés rayons uraniques car on les croyait spécifiques à cet élément. En utilisant les techniques mises au point par quelqu‘un qui m‘est très proche (sic), j'analyse les rayonnements d'un minerai riche en uranium, la pechblende. Grâce cette étude j'ai découvert 2 nouveaux éléments le polonium et le radium. Laissant ainsi mon nom a tout jamais au panthéon de la science. Je suis....... |
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| # 43 Chimère 27/02/09 20:06:06 | ||||
| Marie Curie sans trop me tromper je pense | ||||
| # 44 Ahamay 02/03/09 10:59:58 Edité le 02/03/09 à 11:02:06 | ||||
Pfff..... l'a pas tenu longtemps le 8  ******************* QUI SUIS JE N°9 ********************** Aîné des trois enfants issus du mariage entre mon pere, officier de l'US Navy, et ma mere clara. Je nais deux ans (presque jour pour jour) après l'attaque japonaise contre la base américaine de Pearl Harbor. A trois ans et demi, lors d'un trajet en voiture de Santa Fe à Albuquerque, je vis un des événements des plus importants de ma vie. Evenement relaté dans une des ½uvres : ("Nous roulions à travers le désert, à l'aurore, et un camion plein d'ouvriers indiens avait soit percuté une autre voiture soit seulement - enfin, je ne sais pas ce qui s'était passé - mais il y avait des Indiens qui gisaient sur toute l'autoroute, agonisant, perdant du sang. [ ] Ce fut la première fois que je goûtai la peur. [ ] Ma réaction aujourd'hui en y repensant, en les revoyant - c'est que les âmes ou les esprits de ces Indiens défunts... peut-être d'un ou deux d'entre eux étaient en train de courir dans tous les sens, paniqués, et ils ont tout simplement sauté dans mon âme. Et ils sont toujours là .") On peut trouver dans cette anecdote la source de deux inspirations majeures dans mon comportement et dans ma poésie : d'une part, une attirance très marquée pour la mystique des Amérindiens et le chamanisme ; d'autre part, le recours à l'autoroute et aux véhicules automobiles typiques de l'american way of life comme métaphore morbide du technicisme moderne. En février 1948, me père repart en mission, ce qui amène la famille à déménager à Los Altos. L'année suivante naît le troisième enfant de la famille, un garçon baptisé Andrew (Andy) Lee. En 1951, il est nommé en poste à Washington DC, où la famille emménage pour la seconde fois. Elle n'y reste cependant que quelque mois, car il est à nouveau envoyé en mission en Corée. Ces multiples déplacements et les missions fréquentes assignées à mon pere, réduisant sa présence auprès de sa famille, ont certainement joué un rôle dans ma personnalité complexe, voyez plutot j'ai découvre mon huitième domicile alors que je n'avais que onze ans. En particulier, je me lie peu avec mes camarades de classe et présente un comportement de plus en plus instable, turbulent, voire asocial. Lecteur vorace, je me désintéresse de la vie familiale et m'évade dans les romans. Je martyrise volontiers mon petit frère – allant jusqu'à lui jeter des pierres, à le réveiller en pleine nuit sans motif, à lui jouer toutes sortes de tours dangereux2. J'ai inventé également des mensonges de plus en plus élaborés, ce qui me permis de raffiner mon talent de conteur et de "tester" les réactions de ses interlocuteurs. J'aime aussi agir de manière totalement inattendue, contrevenant aux codes sociaux les plus élémentaires pour déstabiliser son entourage. Mes parents sont d'autant plus déconcertés que leur fils réussit remarquablement en classe et maintient des moyennes excellentes dans toutes les matières. En 1958, Je lis le "grand classique" de la littérature beat, le roman de Jack Kerouac On The Road (Sur la route). Très impressionné par le personnage de Dean Moriarty, sorte de voyou terrifiant et magnifique, je m'identifie immédiatement à lui et commence à imiter son ricanement caractéristique. Jusqu'en 1962, J'effectue ses années de lycée. Excellent élève j'y conserve une moyenne de 88,32/1004. Très au-dessus de la moyenne nationale, mon quotient intellectuel est évalué à 1495. mon appétit de lecture ne se dément pas, marquant un net intérêt pour la littérature et la poésie (je lis it James Joyce, William Blake et Arthur Rimbaud, ainsi que les "beat poets" Allen Ginsberg, Lawrence Ferlinghetti et surtout Michael McClure, avec qui je me lierai d'amitié en 1968), mais également pour l'histoire antique (passionné pour les Vies parallèles de Plutarque) et pour la philosophie, surtout pour les écrits de Friedrich Nietzsche qui me marqueront considérablement. Mes résultats, mes centres d'intérêt, mais aussi le statut de mon père, me valent d'être approché par plusieurs "fraternities" importantes, mais je refuserai toujours de m'y joindre, exprimant même mon dédain. Je reste distant dans tous mes rapports sociaux, participe rarement aux fêtes, n'appartient à aucun club, mais cette froideur n'entame en rien ma popularité : beau garçon, volontiers charmeur, capable de tenir un auditoire en haleine avec des histoires invraisemblables mais narrées avec une grande force de conviction, je constitue, selon les témoignages de mes camarades d'école, un véritable pôle d'attraction au sein du lycée. À cette même époque, j'ai accomplit un acte inaugural : j'ai rassemblé tous les cahiers dans lesquels, depuis plusieurs années, je tenais mon journal, prenait des notes de lecture, réalisait des croquis ou des esquisses, copiait des citations, élaborait des vers : puis, je les jette à la poubelle. Déclarerai plus tard : "maybe if I'd never thrown them away, I'd never have written anything original [ ]. I think if I'd never gotten rid of them I'd never been free."6 : "Peut-être, si je ne les avais pas jetés à la poubelle, n'aurais-je jamais rien écrit d'original [ ]. Je pense que si je ne m'en étais pas débarrassé, je n'aurais jamais été libre. C'est " Cette "libération" qui me permet d'élaborer un style poétique très personnel, d'un abord obscur mais d'une grande force évocatrice. Il écrit dès cette époque le poème Horse Latitudes, qui restera à tout jamais dans les mémoires. Sitôt sorti du lycée, je s'installe chez mes grands-parents à Clearwater pour suivre des cours au Saint Petersburg Junior College. En particulier, je s'inscrit dans deux cursus qui me marqueront profondément : d'une part, un cours sur la "philosophie de la contestation", qui me permit d'étudier Montaigne, Jean-Jacques Rousseau, David Hume, Jean-Paul Sartre et Friedrich Nietzsche ; d'autre part, un cours sur la "psychologie des foules" inspiré de l'ouvrage de Gustave Le Bon La Psychologie des foules. J'émis ensuite le désir de changer d'université pour m'inscrire à l'UCLA (université de Californie de Los Angeles), à la toute nouvelle faculté de cinéma. Ma famille rejette cette nouvelle orientation mais, malgré l'opposition de mes parents, Je maintient ma décision. En janvier 1964, alors que mon père est promu capitaine de vaisseau, Je entre à l'UCLA. Dès le début de l'année, tout en continuant à "tester" les gens (en particulier mes colocataires auprès de qui il se rend rapidement insupportable), je m'encanaille, et m'enivre de manière de plus en plus régulière, fréquente les quartiers "chauds" et les bas-fonds de Los Angeles, et touche sans doute dès cette époque aux drogues hallucinogènes, en particulier le LSD. Pendant l'automne 1964, poursuivant mon cursus de cinéma, je prends des notes sur les techniques cinématographiques, sur l'histoire du cinéma et sur les réflexions philosophiques que ce média m'inspire. Ces notes, remaniées, ordonnées et compilées sous forme de brefs aphorismes, deviendront le premier "recueil" que je publierai (The Lords. Notes On The Vision, publié à compte d'auteur en 1969). Je consacre ensuite le premier semestre 1965 à tourner et à monter le film qu'il me lui faut réaliser pour obtenir mon diplôme. Mon travail se solde malheureusement par une déception : je n'obtients mon diplôme, en juin, qu'avec un médiocre "D". Pourtant, ce résultat ne m'affecte guère : depuis le printemps, j'évalue les divers moyens dont je pourrait user pour toucher le public, et, au début de l'été 1965, une autre idée se fait jour dans mon esprit . Je suis, je suis.... |
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| # 45 Indian-spirit 02/03/09 20:57:47 | ||||
La N°8 était facile ,  bravo quand même à Céline ; par contre la neuvième s'avère
balèze .......Vite un aspro j'ai bobo sous le scalp   |
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| # 46 Papillon84 03/03/09 00:38:37 | ||||
Jim Morrison |
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| # 47 Ahamay 03/03/09 10:30:01 Edité le 03/03/09 à 10:36:21 | ||||
[...]depuis le printemps, j'évalue les divers moyens dont je pourrait user pour toucher le
public, et, au début de l'été 1965, une autre idée se fait jour dans mon esprit [...] :
Fonder un groupe de Rock  Bonne réponse Papillon. J'suis curieux de savoir ce qui t'a mis sur la piste ??? T'as pas utilisé googueul hein ;) Bon, j'me fend en 4 pour vous en pondre un autre dans la journée ;) |
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