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Forum : Social, debats, divers, sujet n°52
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| #112 Ahamay 18/03/09 14:39:29 Edité le 18/03/09 à 14:42:13 | ||||
« That's one small step for man, one giant leap for mankind. »  Pour la petite info, il y a deux versions différentes de cette fameuse petite phrase... (source Wiki) : Six heures après que le LEM se fut posé, au matin du 21 juillet 1969, Neil Armstrong en descend : à 2 h 56 min 15 s UTC, il est le premier terrien à poser le pied sur la Lune. À ce moment, il déclare : « That's one small step for man, one giant leap for mankind. » (« C'est un petit pas pour l'homme, mais un bond de géant pour l'humanité. »). D'après le quotidien Houston Chronicle en date du 30 septembre 2006, la phrase prononcée par Armstrong contient l'article indéfini « a » avant man ce qui donnerait donc : « That's one small step for a man, one giant leap for mankind. » (« C'est un petit pas pour un homme, mais un bond de géant pour l'humanité. »). Mouai bon... bref... ... suivant : |
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| # 113 Ahamay 18/03/09 15:24:29 | ||||
| Qui suis je N° 23 ******************** Fils d'Andrée et Paul, mon nom complet s'octroie une particule « de Nagy-Bocsa » Issu par son père d'une famille de la petite noblesse anoblie en 1628. Mon ancêtre, un paysan qui s'est battu contre les Turcs, n'a pas reçu de titre de noblesse, mais le droit de faire suivre son nom de celui de son village d'origine et l'usage d'un blason. La famille possédait des terres et un petit château dans le village d'Alattyán Cependant, mon niveau de vie était plus modeste que je ne veut bien l'admettre. Mon père né en 1928. Tout comme mon grand pere exerce des fonctions électives à la mairie, En 1944, la famille est expropriée et s'exile. Après de nombreuses péripéties, mon paternel rencontre un recruteur de la Légion étrangère à Baden-Baden. Il s'engage pour cinq ans et fait ses classes en Algérie à Sidi-Bel-Abbès. Il est cependant déclaré inapte au départ pour l'Indochine, puis démobilisé à Marseille en 1948. Il francise alors son nom. Devenu publicitaire, il rencontre môman alors étudiante en droit, qu'il épouse. Je nait le un vendredi, cadet d'une fraterie : Guillaume, né en 1951, futur chef d'entreprise dans le textile et François, né en 1957, qui devient pédiatre puis chercheur en biologie. Lorsque papa quitte le domicile conjugal en 1959 et divorce, ma lère reprend ses études pour élever ses enfants. Elle devient avocat au barreau de Nanterre ; elle plaide dans l'affaire Villarceaux. Papa lui, nique à tout va et se remarie trois fois. Ancien élève du lycée Chaptal que j'ai quité pour redoubler ma sixième au Cours Saint-Louis de Monceau, j'arrive quand même à décrocher difficilement un baccalauréat B en 1973. Étudiant à l'université Paris X, j'y obtient une maîtrise de droit privé en 1978 et effectue mon service militaire à la base aérienne 117 (quartier Balard), dans le 15e arrondissement de Paris (pistonné). Rattaché alors au Groupe rapide d'intervention chargé du nettoyage (ya de beaux restes). J'entre ensuite à l'Institut d'études politiques de Paris, là je foire lamentablement et du coup j'en ressors sans aucun diplôme. Selon Catherine Nay, cet échec serait dû à une note éliminatoire en anglais (juste mdr) J'obtient (enfin j'achète) en février 1980 un DEA en sciences politiques avec un mémoire sur le référendum du 27 avril 1969. En 1981, après avoir envisagé le journalisme, j'obtient le certificat d'aptitude à la profession d'avocat (CAPA), suivant ainsi les traces de ma mère, et me spécialise dans le droit immobilier (pas folle la bête) Mais l'appel du pouvoir et de la politique est plus forte et plus gratifiante que la défense des pauvres citoyens faces aux expropriations du coup j'me lance en politique en lechant différentes pompes, pas toujours de la même couleur. J'ai a été également président de l'Établissement public pour l'aménagement de la région de la Défense (EPAD) entre le 1er avril 2005 et janvier 2007, et figure parmi les administrateurs d'une Société d'économie mixte (Semine) qui gère des immeubles résidentiels. Je suis Membre honoraire du Rotary Club et membre du club Le Siècle, réunissant des personnalités influentes de la « classe dirigeante » française. (bah tient) Selon René Dosière, j'ai été un « député fainéant » qui n'a pas la culture du député et n'a que peu d'expérience parlementaire : « sa présence à l'Assemblée se résume à 10 interventions brèves: deux questions au gouvernement, soit quatre minutes, huit interventions de cinq à dix minutes, soit au total moins d'une heure de parole en 12 ans de vie parlementaire! »... vive la renommée : Mon nom apparaît indirectement dans des listings truqués de la société Clearstream. (ah bon ??? non ????) Voila, c'est le quizz des hommes illustres, et bin, j'ai ma place d'honneur ici bas car il ne se passe pas un jour sans que je m'illustre par les conneries que je peux dire. « Dieu est dans le c½ur de tous les hommes, Dans la transmission des valeurs et dans l'apprentissage de la différence entre le bien et le mal, l'instituteur ne pourra jamais remplacer le curé ou le pasteur. » Bref, je suis...... ? |
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| # 114 Misterno 18/03/09 15:49:46 | ||||
| putain!!! 53 % de connars!!!A la 2eme ligne je sais...!!! CE gros enculé de nabot:SAM 1er que je
peux même pas dire son nom ou la DST va venir me faire un test ADN,et j'ai pas eut à forcer,dès
que j'ai ataqué le début de son nom de chien,j'ai eut comme la nausée et de l'urticaire.. t'es con doc,faut pas me faire des trucs comme ca. |
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| # 115 Ahamay 18/03/09 15:58:30 | ||||
| mdr.... j'ai beaucoup aimé "...appartient alors au Groupe rapide d'intervention chargé du nettoyage" ..... d'ou sa passion pour les karshers ! |
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| # 116 Paulina 18/03/09 16:00:36 | ||||
Pauvre petit Sarko... |
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| # 117 Ahamay 18/03/09 18:01:44 | ||||
| Qui suis je N° 24 *********************** Je suis célèbre pour avoir publié plusieurs ouvrages politiques et avoir proposé un certain nombre de réformes. Dans mon livre Pétition des six corps, je demande que le nombre des députés du tiers état soit au moins égal à celui des députés des deux autres ordres. Si au départ cette proposition me vaut de passer en jugement (mais acquitté), elle est acceptée par suite. Médecin et professeur d'anatomie à la Faculté de Paris, élu député C'est moi qui propose la réunion dans la salle du Jeu de paume, lorsque les députés trouvèrent leur salle fermée le 19 juin. Avec l'appui d'un député et secrétaire de l'Assemblée nationale constituante, je propose le un projet de réforme du droit pénal dont le 1er article dispose que « les délits de même genre seront punis par les mêmes genres de peines, quels que soient le rang et l'état du coupable. » Humaniste et je me suis battu pour l'égalité des citoyens, notemment dans le domaine de la justice, ainsi, par exemple l'exécution de la peine capitale différait selon le forfait et le rang social du condamné : les nobles étaient décapités à l'épée, les roturiers à la hache, les régicides écartelés, les hérétiques brûlés, les voleurs roués ou pendus. Mes propositions visent également à supprimer les souffrances inutiles. Mon projet est adoptée par la loi du 6 octobre la première personne à bénéficier fut un voleur, du nom de Nicolas Pelletier. J'espérait instaurer une justice plus humaine et des sentences moins douloureuse. Mais, pendant la Terreur, cela à largement contribué à multiplier les exécutions capitales. Emprisonné durant la Terreur, je fus est remis en liberté et passa le restant de ses jours loin de la vie politique et ne me consacra plus qu'à la médecine, m'activant à propager la pratique de la vaccination contre la variole et, sous le Consulat, je fus en charge d'installer le premier programme cohérent de santé publique en France à l'échelle de la nation. Nommé médecin chef de l'hôpital Saint-Vaast d'Arras. Je suis également le fondateur de la Société des premiers médecins de Paris, ancêtre de l'actuelle Académie de médecine. Je suis ? |
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| # 118 Chimère 19/03/09 10:34:18 | ||||
| Un révolutionnaire! Allez au hasard Robespierre, et après j'en ai d'autres, je connais de nom
mais de là à savoir ce qu'ils ont réalisé. Mais je crois pas que Robespierre et la médecine aille ensemble  Qui ne tente rien n'a rien, ca fera un nom en moins à dire  |
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| # 119 Ahamay 19/03/09 15:28:40 | ||||
| Non c'est pas Robespierre, mais c'est bien un de ses contemporains. Un indice : Son projet, sa loi à été maintenue jusqu'en 1981. |
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| # 120 Valou 19/03/09 18:01:26 | ||||
| C'est le père Guillotin ? | ||||
| # 121 Ahamay 20/03/09 10:45:06 Edité le 20/03/09 à 10:48:21 | ||||
Joseph Ignace, de son prénom. lol  Bravo Valou ------------------------------------------- *********** qui suis je N° 25 ************ ------------------------------------------- Initiateur du tout premier voyage autour du monde. Ma détermination à trouver un chemin par l'Ouest menant à l'Indonésie m'a permis de découvrir entre autre l'archipel des Philippines. Je vois le jour au c½ur d'une famille de petite noblesse. D'abord page je m'oriente ensuite vers le domaine des armes, chargé, en tant qu'officier, de prendre la mer pour l'Inde. Cette première expérience maritime et militaire semble avoir fait naître en moi la passion de la navigation et de l'aventure. Mais l'un de mes principaux objectifs consiste à atteindre les îles aux épices, un met de plus en plus apprécié en Europe. Je participe aux expéditions en Indes orientales. Nommé capitaine je prend part à d'autres expéditions militaires en Indes et à Malacca. Mais j'entre apparemment en conflit avec l'autorité et doit rejoindre ma terre natale. Le répit est toutefois de courte durée puisque je suis envoyé au Maroc peu de temps apres. Durant les conflits auxquels je participe, je serai sérieusement blessé au genou. En plus de cet incident qui me marquera à vie, je suis accusé de malversations et perd les faveurs de la cour. Ainsi, le roi refuse d'augmenter ma rente pour tous les services que j'ai rendu au pays. Par ailleurs, j'ambitionne de découvrir une nouvelle route des Indes mais mon projet est aussi rejeté par le roi. C'est alors l'exil pour moi. Abandonnant un pays qui me semble trop ingrat, je propose mes services à un pays voisin. J'espère pouvoir ainsi réaliser mon rêve d'exploration. D'autant plus que je sais comment convaincre le souverain de mon utilité. L'idée plaît au jeune roi, surtout que le commerce des épices est un moyen idéal d'enrichir le pays. Je quitte donc la terre ferme avec cinq navires et un équipage de plusieurs centaines d'hommes à ses ordres. Embarqué sur le Trinidad, je prends la mer pour rejoindre l'Amérique et trouver un moyen de traverser le continent vers l'Ouest. Après avoir atteint la côte orientale, nous faisons escale au Brésil, puis explorons l'estuaire de la rÃo de la Plata, dans l'espoir de écouvrir un passage vers la mer. Sans succès. Je décide alors de prendre pied au sud de l'Amérique, en Patagonie, durant quelques mois. Fatigués et ayant perdu espoir, certains hommes de l'équipage sont exaspérés par la détermination de leur capitaine. Ils se mutinent mais je parvins à réprimer la révolte rapidement. Ayant repris la mer après l'incident, je découvre enfin un détroit vers l'océan de l'ouest. Mais la traversée de ce passage s'avère longue et difficile. Un navire s'échoue, tandis que l'autre se mutine et regagne les cotes. Après plus d'un mois l'expédition arrive enfin dans l'océan. Surpris par l'extrême tranquillité de ses eaux, je lui donne le nom de "Pacifique". Et poursuit ma route, loin d'imaginer l'immensité de l'Océan. Il faut en effet trois long mois pour le franchir et c'est un équipage affamé et à bout de force qui atteint Guam, aux îles Mariannes, Je préfère toutefois ne pas trop m'attarder dans les lieux et reprend la mer. Le 16 mars, je découvre les Philippines, puis l'île de Cebu, où nous faisons escale. Ayant pris pied parmi les autochtones de cette île, j'entreprends de convertir les habitants avec douceur. Après y être parvenu, j'accepte de fournir mon aide au souverain des lieux. Ce dernier cherche en effet à asseoir sa domination sur l'île de Mactan, non loin de là . Reprenant les armes, je me lance alors dans une bataille de laquelle je ne sortirai pas vivant. Après la mort de leur capitaine, deux navires s'empressent de reprendre la mer, tandis qu'un troisième est incendié. Bien que je n'ai pu achever ce voyage, j'en reste le seul instigateur. Outre l'exploit accompli par l'un de mes navires, mon périple confirme concrètement que la Terre est belle et bien ronde. Je contribuerai également au développement du commerce entre l'Amérique et l'Asie orientale.  Bref, Je suis.......... ? |
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| # 122 Paulina 20/03/09 12:30:53 | ||||
F. de Magellan ?  |
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| # 123 Ahamay 20/03/09 14:27:38 | ||||
Grrr.....  Trop forte Nicole  Et le fameux détroit qu'il a découvert, depuis, porte son nom ! Next one..... |
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| # 124 Ahamay 20/03/09 15:16:40 | ||||
| Qui suis je N° 26 ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ Né à Maisons-Laffitte dans une famille bourgeoise de Paris. Mon père, avocat et peintre amateur, se suicide lorsque j'ai neuf ans. Dès l'âge de quinze ans, je quitte le cocon familial et manifeste peu d'intérêt pour les études du coup, je n'obtient pas mon baccalauréat. En dépit de mes ½uvres littéraires et de mes talents artistiques, j'insiste sur le fait que je suis avant tout un poète et que tout travail est poétique. Je publie son premier livre de poèmes, à 19 ans (1908) et devient alors connu dans les cercles artistiques bohémiens comme le "prince frivole". C'est sous ce titre que je publie à 21 ans, en 1910, son second recueil de poèmes. Edith Wharton me décrit comme un homme pour qui « chaque grande ligne de la poésie était un lever de soleil, chaque coucher du soleil la base de la ville merveilleuse...» Dans les années 1920, je s'associe avec Marcel Proust, André Gide et Maurice Barrès. Je suis également fasciné par le maître des ballets russes, Serge de Diaghilev. De cette collaboration avec l'artiste russe naît « Parade », ballet produit en 1917 par Diaghilev, avec des décors de Pablo Picasso et une musique composée par Erik Satie. Cette ½uvre inspire à Guillaume Apollinaire le néologisme de surréalisme, repris ensuite par André Breton et Philippe Soupault pour la création du mouvement culturel que l'on connaît. J'aurai une grande influence sur le travail des autres, dans le groupe même composé par ses amis : « Les Six ». En 1919, je rencontre le poète Raymond Radiguet. Nous entreprenons beaucoup de voyages ensemble, étant exempté du service militaire. En admiration devant le grand travail littéraire de Radiguet, je ferai la promo des travaux de mon ami dans mon cercle artistique, et m'arrange pour faire publier par Grasset Le Diable au corps (une histoire en grande partie autobiographique sur le rapport adultère entre une femme mariée et un homme plus jeune), exerçant mon influence pour recueillir le prix littéraire du "Nouveau Monde" pour le roman. En 1921, je collabore avec le Groupe des Six pour le livret argumentaire des Mariés de la Tour Eiffel, oeuvre collective qui lance la nouvelle génération musicale en France dans le sillage d'Erik Satie qui en est le mentor. Ma réaction à la mort soudaine de Radiguet en 1923 crée un désaccord avec certains proches qui déclarent qu'il m'alaissé désespéré, découragé et en proie à l'opium. je n'aurait même pas assisté à l'enterrement. Mais je n'assiste généralement pas aux enterrements. Je quitte alors aussitôt Paris avec Diaghilev pour une représentation de "les Noces" par les Ballets russes à Monte-Carlo. Mon amitié avec Radiguet aurait en fait été une liaison amoureuse, intense et souvent orageuse, mais aucune preuve ne permet de le justifier. Dans les années 1930, j'aurait eu une liaison avec la princesse Nathalie Paley, fille morganatique d'un grand duc de Russie, elle-même modiste, actrice ou modèle et ancienne épouse du couturier Lucien Lelong. Elle tombe enceinte, mais la grossesse ne peut être menée à son terme, ce qui nous laisse dans un profond désarroi. J'entretiens ensuite une relation sentimentale avec deux acteurs français, puis un boxeur dont je prend en charge, un temps, la carrière. Durant la seconde guerre mondiale je joue un rôle ambigu, les résistants m'accusent de collaboration avec les Allemands, une partie de son passé (1939-1944) reste mystérieuse. D'ordinaire assez réservé quant à l'affirmation de mon engagement politique. Pendant l'Occupation, je fait montre d'un certain pacifisme ("L'honneur de la France, écrivis-je dans mon Journal du 5 mai 1942, sera peut-être, un jour, d'avoir refusé de se battre"), mais surtout, je n'hésite pas à accueillir Arno Breker, sculpteur officiel du Reich, lors de son exposition à Paris en été 1942. Reste qu'à la Libération, Je fus rapidement acquitté par le Comité national du cinéma et le Comité national des écrivains, comités d'épuration devant lesquels il comparaît pour collaboration. C'est en apprenant le décès de mon amie Édith Piaf, que je fus pris d'une crise d'étouffement et succombe quelques heures plus tard d'une crise cardiaque dans ma demeure de Milly-la-Forêt le 11 octobre 1963 à 74 ans. Je suis enterré dans la Chapelle Saint-Blaise-des-Simples à Milly-la-Forêt dans l'Essonne. Sur ma tombe, on peut lire l'épitaphe suivante : "Je reste avec vous". Qui suis je ? |
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| # 125 Paulina 20/03/09 15:36:27 | ||||
| Cocteau? | ||||
| # 126 Paulina 20/03/09 15:40:32 | ||||
| J'ai vécu plus d'un an au Portugal et les portugais sont trés fiers de leurs navigateurs... | ||||
| # 127 Ahamay 20/03/09 15:57:54 | ||||
| bon... et tu vas aussi me dire que les portuguais sont aussi tres fiers des poetes français !
Grrrr.... toi t'as décider de m'ennerver aujourd'hui ! Bravo.... c'était bien Jean Corteau.... Pour la petite histoire l'indice que je gardais sous le coude c'était : "en guise de petit dej, avec son café, un de mes amants (Jean marrais), avait droit tous les matins à une rose et quelques vers". ... et une ptite gatterie aussi ??? (ok je sors....) Bon.... un dernier pour la route... je cogite ! |
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